Risque de perte en capital : Le Compartiment ne bénéficie d’aucune garantie ni de protection du capital. Il se peut donc que le capital initialement investi ne soit pas intégralement restitué lors du rachat.
Risque lié à la gestion discrétionnaire : La gestion discrétionnaire repose sur l’anticipation de l’évolution des marchés. La performance du Compartiment dépend à la fois de la sélection des titres et OPC choisis par le gérant et à la fois de l’allocation opérée par ce dernier. Il existe donc un risque que le gérant ne sélectionne pas les valeurs les plus performantes et que l’allocation faite ne soit pas optimale.
Risque de crédit : Le risque crédit correspond à la dégradation de la qualité de crédit ou de défaillance d’un émetteur privé ou public. L’exposition aux émetteurs dans lesquels est investie le Compartiment soit en direct soit via d’autres OPC, peut entraîner une baisse de la valeur liquidative. Dans le cas d’une exposition à des dettes non notées ou relevant de la catégorie « spéculative / high yield », il existe un risque de crédit important pouvant entraîner une baisse de la valeur liquidative du Compartiment
Risque de taux : Il s’agit du risque de baisse des instruments de taux découlant des variations des taux d’intérêts. Ce risque est mesuré par la sensibilité. A titre d’exemple le prix d’une obligation tend à évoluer dans le sens inverse des taux d’intérêt. En période de hausse (en cas de sensibilité positive) ou de baisse (en cas de sensibilité négative) des taux d’intérêts, la valeur liquidative pourra baisser.
Risque de durabilité : Tout événement ou toute situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait avoir un impact négatif réel ou potentiel sur la valeur de l’investissement. Plus précisément, les effets négatifs des risques de durabilité peuvent affecter les émetteurs via une série de mécanismes, notamment : 1) une baisse des revenus; 2) des coûts plus élevés; 3) des dommages ou une dépréciation de la valeur des actifs; 4) coût du capital plus élevé ; et 5) amendes ou risques réglementaires. En raison de la nature des risques de durabilité et de sujets spécifiques tels que le changement climatique, la probabilité que les risques de durabilité aient un impact sur les rendements des produits financiers est susceptible d’augmenter à plus long terme.
Risque de liquidité : Il représente le risque qu’un marché financier, lorsque les volumes d’échanges sont faibles ou en cas de tension sur les marchés, ne puisse absorber les volumes de transactions. Ces dérèglements de marché peuvent impacter les conditions de prix ou de délais auxquelles le Compartiment peut être amené à liquider, initier ou modifier des positions et donc entraîner une baisse de la valeur liquidative du Compartiment.
Risque lié aux investissements ESG et limites méthodologiques : Les critères extra-financiers peuvent être intégrés au processus d’investissement à l’aide de données fournies par des prestataires externes ou directement reportées par nos analystes, notamment dans notre grille d’analyse propriétaire ESG. Les données peuvent être incomplètes ou inexactes étant donné l’absence de normes internationales ou de vérification systématique par des tiers externes. Il peut être difficile de comparer des données car les émetteurs ne publient pas obligatoirement les mêmes indicateurs. L’indisponibilité des données peut également contraindre la gestion à ne pas intégrer un émetteur au sein du portefeuille. Par conséquent, la société de gestion peut exclure des titres de certains émetteurs pour des raisons extra- financières quelles que soient les opportunités de marché.
Risque de réinvestissement : Risque auquel est confronté le fonds lorsqu'il réinvestit le produit d'un investissement à un taux de rendement inférieur à celui de l'investissement initial. Si ce risque se matérialise, cela peut entraîner une baisse des revenus et l’objectif de gestion pourra ne pas être atteint.