Distribution
externe
Notre démarche
distributeur
" Une relation de partenariat "
P Progression de nos encours
40,3 M€ d’encours gérés dont 63% en gestion institutionnelle au 31 décembre 2023.
Une progression constante des actifs gérés auprès des distributeurs.
Une croissance significative de la taille de nos fonds ouverts : Lazard Credit Opportunities & Lazard Patrimoine SRI.
E Élargissement de notre Gamme
Développement des fonds thématiques sur les actions européennes : Lazard Equity Expansion
Élargissement de notre offre produits : dettes émergentes, Long/Short actions européennes et actions Small Caps nordiques
R Relation de confiance : réactivité et conseil
Une pérennité et une stabilité des équipes qu’elles soient commerciales ou de gestion
Une équipe commerciale dédiée de 3 personnes en charge de développer et d’entretenir une relation privilégiée permettant de répondre au mieux à vos exigences en étant force de proposition
Toutes nos équipes d’analystes-gérants et de stratégistes également disponibles pour partager les expertises de Lazard
Lazard Frères Gestion s’appuie sur des professionnels avec un niveau d’exigence élevé, à l’écoute de ses clients, et réactifs à l’évolution de leurs problématiques d’investissement.
Notre offre
" Des solutions d’investissement créatrices de valeur sur le long terme "
- Lazard Frères Gestion se caractérise par une gestion active et fondamentale « Bottom-up ». L’analyse financière et la connaissance des entreprises sont au cœur de notre processus de gestion. Nos choix d’investissement traduisent les convictions fortes et assumées de nos équipes.
- Notre modèle se distingue par notre approche « analyste-gestionnaire » : l'ensemble de l'équipe est impliqué dans les décisions d'investissement et chaque analyste-gestionnaire peut apporter son appréciation de l'évaluation et son expertise des marchés.
- L'ensemble des gestions institutionnelles s'appuie sur un même scénario macroéconomique. La philosophie d’investissement de Lazard Frères Gestion repose sur l’enrichissement mutuel de notre lecture du cycle économique avec notre connaissance et évaluation des entreprises.
- Notre gamme d’OPC reflète nos expertises et s’articule autour de profils complémentaires.
(1) OPC dont la gestion est déléguée à Lazard Asset Management.
(2) OPC géré par Lazard Asset Management.
Lazard Frères Gestion poursuit une stratégie de développement qui associe un savoir-faire dans la gestion à une relation de confiance avec ses clients, fondée sur la transparence de ses processus d’investissement.
Conseil & Outils à votre disposition
" Une communication permanente et réactive "
Notre objectif est de répondre à vos exigences sur l’analyse et le suivi de nos fonds. Pour cela, nous avons mis en place plusieurs dispositifs de communication réguliers ou ponctuels.
C Communication Corporates
Nous publions chaque mois la Newsletter Partenaires afin de vous tenir informés de notre activité, de l'actualité de nos fonds et des évènements.
M Communication Marché
- Graphique de la semaine
- Flash dettes bancaires : lettre d'information bimensuelle sur les marchés de taux et crédit des dettes financières
- Lettre du Fixed Income : lettre d'information mensuelle sur les marchés de taux et crédit
- Notes ponctuelles sur des événements de marché marquants
- Analyse de l’environnement économique et de marché : point conjoncturel mensuel
P Communication Produits
- Reporting mensuel
- Brochures trimestrielles
- Point de gestion trimestriel sur les fonds phares
G Communication Gérants
E évènements
Nous organisons régulièrement des déjeuners thématiques afin d’échanger sur
- notre scénario macro-économique et financier
- nos produits selon l’actualité financière et les opportunités
A votre demande, nous organisons des points téléphoniques et/ou des rendez-vous avec vos contacts commerciaux et les gestionnaires
La politique monétaire ultra accommodante de la BCE peut-elle soutenir la croissance économique de la zone euro ?
Le 31/03/2016
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Le face à face a opposé Jacques Sapir, économiste, directeur d’études à l’EHESS et Régis Begué, directeur de la Gestion Actions et de la recherche Actions chez Lazard Frères Gestion. - Intégrale Placements, du mardi 29 mars 2016, présenté par Guillaume Sommerer, sur BFM Business.
Fed : une mauvaise habitude ?
Le 23/03/2016
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Si aucun mouvement de hausse des taux n’était attendu lors de cette réunion, le comité de politique monétaire et sa présidente Janet Yellen ont néanmoins réussi à surprendre le marché en adoptant une position très « dovish », que ce soit dans son discours ou, plus concrètement, en abaissant les anticipations sur les taux directeurs du « dots plot ». Là où celle-ci impliquait quatre hausses pour l’année 2016, elle n’en implique plus que deux. Sur les années suivantes, il n’y a pas de rattrapage puisque le rythme de quatre hausses par an est maintenu. En revanche, le niveau de long terme est encore abaissé à 3,25%. Le comité de politique monétaire a revu à la baisse ses prévisions de manière continue depuis fin 2014 (voir graphique 1).
Une nouvelle révision en baisse de la trajectoire des Fed Funds
Comme à chaque fois, le marché a amplifié la baisse de ses anticipations sur la trajectoire des taux directeurs. Entre le jour précédent et le jour suivant la réunion de la Fed, la probabilité implicite dans les prix de marché de n’observer aucune, ou seulement une hausse des taux, est passée de 58% à 75%. Si la Fed espérait gagner en crédibilité en présentant des prévisions plus proches du marché, c’est un échec.
La Réserve Fédérale entend donc maintenir une politique toujours très accommodante, alors même que selon certains modèles classiques, comme ceux dérivés de la règle de Taylor (voir graphique 2), les taux des Fed Funds auraient dû commencer à remonter à partir de début 2014 pour se situer actuellement entre 3,5% et 5% selon les différentes estimations. Bien sûr, ces modèles ne sont sans doute pas totalement adaptés au contexte d’une sortie d’une récession et d’une crise financière exceptionnelle, mais même le modèle de contrôle optimal, mis en avant par Janet Yellen pendant un certain temps, montrait que la Réserve Fédérale aurait dû commencer à remonter ses taux mi-2014 pour les amener à 1,75% au premier trimestre 2016…
Les propos tenus par Janet Yellen lors de la conférence de presse ont renforcé le message « dovish ». Il apparaît donc que la volatilité des marchés des derniers mois, le durcissement des conditions financières ainsi que les inquiétudes sur la conjoncture dans le reste du monde ont pris le pas sur la vigueur du marché de l’emploi et sur les premiers signes d’accélération des salaires et de l’inflation. Cette dernière évolution a d’ailleurs été relativisée par Janet Yellen qui l’a attribuée à des facteurs transitoires.
Un scénario économique jugé très incertain
Les prévisions de croissance ont été marginalement revues en baisse en 2016 et 2017 à +2,2% et +2,1% respectivement (quatrième trimestre en glissement annuel). Le niveau de croissance de long terme est de +2,0%. Le taux de chômage devrait continuer de baisser progressivement pour atteindre 4,7% en fin d’année, puis 4,5% fin 2018. Le niveau d’équilibre est abaissé à 4,8%. Les prévisions d’inflation Core n’ont quant à elles pas été révisées.
Les remarques plus qualitatives de Janet Yellen montrent que la croissance reste très solide dans un environnement compliqué, mais que le marché du travail peut encore s’améliorer.
Pour résumer, la Fed anticipe une croissance stable par rapport à 2015 qui devrait permettre une poursuite progressive de l’amélioration du marché de l’emploi et de l’inflation. Alors qu’en décembre le comité de politique monétaire se sentait suffisamment confiant pour parler de risques équilibrés, Janet Yellen a cette fois insisté à plusieurs reprises sur l’incertitude qui caractérise l’environnement actuel, mais aussi le niveau des taux neutre sur les Fed Funds.
Une très grande prudence revendiquée
En décembre dernier, Janet Yellen avait mentionné qu’en dehors des habituels indicateurs d’activité et du marché du travail, le FOMC serait davantage attentif aux données d’inflation, tant pour les anticipations que pour les chiffres effectifs. Comme nous l’avons dit, les chiffres forts des deux derniers mois ont été relativisés (voir graphique 3). En revanche, elle a insisté sur le bas niveau d’inflation anticipé par le marché. Le breakeven 5 ans dans 5 ans, indicateur préféré de la Fed, reste à un niveau extrêmement bas à 1,5%, loin de ce qui fut son niveau moyen, autour de 2,5%, jusqu’en 2014.mis en avant par Janet Yellen pendant un certain temps, montrait que la Réserve Fédérale aurait dû commencer à remonter ses taux mi-2014 pour les amener à 1,75% au premier trimestre 2016…
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